jeudi 27 février 2014

Le Jumilhac, un navire de pêche en 1785 à Portrieux en Bretagne

"Le constat: la moitié des marins-pêcheurs français de l’époque s’expatrient six mois par an pour trouver le moyen de subsister.
Il n’y a aucun autre exemple de migration temporaire de cette ampleur à l’intérieur d’une profession à ce siècle et au siècle suivant. Ceci permet de mieux comprendre pourquoi sur les côtes de Bretagne, de Normandie et du Nord de la France toute une légende s’est peu à peu ancrée dans la mémoire collective autour de ce qui était une grande aventure. 
Le pouvoir royal va tout faire pour encourager cette entreprise, et les primes sont maintenues et développées. 
Les navires de Portrieux en bénéficient.
En 1785 ,7 bâtiments ont participé à la campagne de pêche:
L’Argus, commandé par Jean Vitel -300 tonneaux-87 hommes a déchargé à Marseille 4 240 quintaux de morue sèche, 1 300 quintaux de morue verte, 44 barriques d’huile.
Le Petit Aimé, commandé par Jacques Veillet- 120 tonneaux-14 hommes décharge à Marseille.
La Diane, commandé par Jean Baptiste Themoy- 290 tonneaux-102 hommes.
Le Coq, commandé par Jean-François Guillard- 75 tonneaux-15 hommes décharge à Bordeaux.
LE Jean-Baptiste, commandé par Louis Signoret décharge à La Rochelle.
Le Jumilhac, commandé par Louis Marie Morvan décharge à Bordeaux.
Ces deux derniers navires sont indiqués comme ayant pêché à St Pierre et Miquelon."
source :

jeudi 20 février 2014

Propos pré-électoraux, républicains contre réactionnaires, une question d'épiderme ?

Aujourd'hui d'un bord à l'autre de l' "échiquier politique" on s'annonce républicain en France. Uniformisation de l'épiderme ?

Relisons Marcel Aymé, La jument verte

"tous les républicains (je vous parle d'il y a cinquante-cinq-ans, quand les opinions politiques étaient encore, à Caquebue, une question d'épiderme), tous les républicains soupçonnaient leurs adversaires non pas d'être impuissants, puisqu'ils se reproduisaient, mais de fonctionner à un régime diminué, avare. De leur côté, les réactionnaires les considéraient comme des dévorants, des frénétiques de la bagatelle, des imprévoyants de l'au-delà, et ils éprouvaient un sentiment de jalousie, comparable à celui d'une femme honnête pour une fille qui prodigue son ventre. "

La jument verte a été publiée chez Gallimard, en 1933

dimanche 16 février 2014

Achetez un titre de noblesse, vous épaterez les britanniques du coin !

http://www.lordofblackwood.com/acheter-un-titre-ecossais-devenir-un-lord/

http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-titres-noblesse-continuent-avoir-cote-eric-mansion-rigau-859655.html

http://www.titredenoblesse.com/

et en plus vous n'aurez pas à entretenir un château comme celui de Jumilhac !

Merci à tous ceux qui entretiennent ces châteaux. Notre Etat est en train de vendre les bijoux de familles. Il ne faut pas compter sur lui pour entretenir ce patrimoine.

Et qui profite de la vue du château de Jumilhac ? ses habitants (du château) ? Ben non, vous, moi, ceux qui habitent sur la place. On devrait, à vous, à moi, les veinards qui se rincent l'oeil pour pas un rond, leur faire payer une taxe pour l'entretien ! Z'y ont pas encore pensé là-haut à Paris ?

samedi 15 février 2014

Désir de forêt, La Bonne-Foussie

Le support de certaines des conférences d’août 2013 sont en ligne ici :
Ceux qui vont de Jumilhac à Angoisse, peuvent voir sur leur gauche (on voit plutôt en revenant !) un panneau écrit en japonais. Il a été mis là lors de la première conférence organisée par Jean Mottet. 
La Bonne-Foussie (Sarlande) et le Japon de Hayo Miyazaka dont je vous conseille le dernier film "Le vent se lève" ….
http://www.desirdeforet.fr/index.php/activites/16-aout-2010-la-foret-japonaise-colloque-expositions-projections-de-film
Nous apprenons le décès, à l’âge de 67 ans, le 31-10-2013 de Madame Monique Mottet qui nous recevait lors des journées à la Bonne-Foussie.

Va-t-on reprendre l'exploitation de l'or à Jumilhac ?

http://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2014/02/15/va-t-on-reprendre-lexploitation-des-mines-dor-au-bourneix