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mercredi 18 mars 2020

Jumilhac-le-Grand, Taux de participation : 71,74%, les résultats


Jumilhac-le-Grand 24630
Résultats aux municipales 2020

: consultez l’intégralité des listes, des candidats, les résultats du scrutin du premier tour et les données-clés de la commune.
  • Maire sortante : Annick MAURUSSANE
  • Population : 1 244 habitants
  • Circonscription : 3e de la Dordogne
  • Intercommunalité : CC Périgord-Limousin

Résultats du 1er tour des municipales 2020

  • Taux de participation : 71,74%
  • Votes nuls : 3,79%
  • Votes blancs : 1,67%
Annick MAURUSSANE
A VOTRE SERVICE 39,10% (244 voix)
 
 
Patrick MEYNIER
Mieux pour Jumilhac 38,46% (240 voix)
 
 
Jean-Marc BUISSON
Jumilhac en grand 22,44% (140 voix)

jeudi 19 décembre 2019

Il faut sauver le château de Jumilhac. Il n'est pas grand sans raison !



Allez lire le Populaire. Merci à lui. Jumilhac n’est pas sur ses terres. On est en Dordogne. Mais c’est une inattention lors de la Révolution qui en est la cause. Qui connaît la route de Jumilhac à Thiviers comprend. On est sur les terres de Sud-Ouest ou de la Dordogne Libre.


Grace au Populaire nous en apprenons sur notre château. On y tient beaucoup. On ne se lasse pas de le regarder quand nous sommes dans le pays. Allez le voir à Jumilhac ! Sortez des sentiers battus de Sarlat, remontez à Brantôme puisen visitant en chemin, filez à Jumilhac.



« En arrivant dans le bourg de Jumilhac-le-Grand, à un jet de pierre (de 7 km précisément) de la Haute-Vienne, l’œil glisse irrémédiablement vers sa silhouette imposante. Une masse qui s’étire irrésistiblement vers le ciel dans une succession de tourelles et cônes qui culminent à plus de 25 mètres, à la finesse rehaussée de faîtières en plomb ciselées. Le château de Jumilhac a inspiré en son temps Gustave Doré. « Il disait que cette toiture était la plus romantique de France », sourit Henry de la Tour du Pin, l’actuel propriétaire qui perpétue une histoire familiale débutée en 1927, par l’acquisition du domaine par ses grands-parents maternels.
Cette spectaculaire toiture recouverte de plus d’un hectare d’ardoises corréziennes taillées à la main, certaines d’un bon centimètre d’épaisseur, d’autres guère plus grandes qu’un paquet d’allumettes, est parfaitement emblématique du site. Pourtant, en la scrutant, on y décèle les ravages du temps qui passe. Et un petit tour dans les combles confirme le diagnostic. Outre l’invasion de la mousse et la détérioration des épis de faîtage, les trous sont nombreux et l’infiltration de l’eau, inévitable.
Une situation qui a poussé Henry de la Tour du Pin à lancer, le 15 novembre 2019, un appel à contribution sur la plateforme de financement participatif dartagnans.fr. Car si, « sur un exercice triennal, le château se suffit à lui-même avec les visites, entre 11.500 et 12.00 par an, les réceptions et les mariages organisés sur place », soit des recettes de l’ordre de 100.000 euros qui permettent de régler les impôts, les salaires, dès qu’une dépense imprévue survient, elle grève immédiatement le budget. Et dans le cas de la toiture, la note s’élève à… 120.000 euros, avec notamment le recours à une nacelle et le démontage d’une partie du mur d’enceinte pour la faire passer. A terme, un portail devra y être installé.

Comment en est-on arrivé là ?

La situation a empiré de jour en jour depuis… vingt ans, alors que les derniers travaux effectués sur la toiture remonte à 1967 avec la restauration de la couverture de l’aile gauche. Pour l’aile droite, il faut remonter à 1940 et à 1937 pour le vieux château (la partie centrale). Un premier devis avait en effet été réalisé en 1998 et se chiffrait à 6.000 euros pour quelques fuites dans le grand salon. « Il s’agissait juste d’une reprise. Mais ma mère n’avait pas très envie d’entreprendre ses travaux alors on a attendu. »
Les fuites se multipliant, un nouveau devis est réévalué en 2004, puis en 2007. « Mais avec le décès de ma mère en 2008, on n’a rien fait. Et puis ici, dès qu’on tourne la tête on voit autre chose à faire et on oublie. On a laissé traîner les choses… », reconnaît le châtelain, qui vit à Périgueux et ne dort que très occasionnellement dans le château. Comme ses aïeux d’ailleurs : les derniers habitants ont quitté les lieux en 1964. Un état de fait qui a sûrement contribué à la détérioration de l’état des lieux.
« La problématique de Jumilhac, finalement, c’est que lorsqu’ils ont racheté le château, qui appartenait jusque-là à deux habitants et qui hébergeait plusieurs activités de la commune _ les jardins à la française étaient même devenus un champ de blé, un verger et un potager, ndlr _, ils songeaient à le laisser en héritage à leur fils aîné, Antoine. Mais il a disparu pendant la « drôle de guerre » en 1940, ma grand-mère ne s’en est d’ailleurs jamais remise. Ma mère et ma tante avaient leurs vies loin de Jumilhac. L’espoir de voir leur descendance reprendre le domaine disparaissait à jamais. »

L’engagement d’un homme, dans la lignée de sa mère

C’est la mère d’Henry de la Tour du Pin, dont le premier souvenir au château remonte à ses 13 ans et une semaine passée avec son frère à déblayer un petit escalier dans une tourelle,  qui va pourtant donner un nouvel élan à Jumilhac. « En 1964, ma mère a eu l’idée d’ouvrir le château aux visites. » Classé aux Monuments historiques en trois temps (1922, 1923, 1924) autant pour l’extérieur que l’intérieur, il attire rapidement les curieux. Et Henry, qui se destinait à une carrière de vétérinaire avant de se réorienter vers l’informatique, s’est peu peu glissé dans son sillage.
« Rien ne me prédestinait à m’orienter vers le patrimoine, je n’y étais pas préparé. Ça s’est fait naturellement. En 1983, ma mère s’est cassé le col du fémur, on a retardé l’ouverture du château d’avril à juillet et j’ai commencé à l’aider de plus en plus pour les visites. J’y ai mis une rognure d’ongle et je me suis retrouvé absorbé par le château ! » s’amuse-t-il. Dès la fin des années 90, il prend en charge la comptabilité. En 2000, il relance les jardins à la française, puis il fait créer une partie réceptive dans l’aile gauche.

Un engouement populaire et international

C’est aussi lui qui découvre, au début des années 2000, la symbolique alchimique que l’on retrouve un peu partout dans le château, et tout particulièrement sur la fameuse toiture. Car les dix épis de faîtage, qui ont également besoin d’un petit ripolinage, ne figurent pas n’importe quoi… « Il y a surtout des détails pas clairs pour ne pas dire absurdes. Mais il s’agit en fait d’un résumé entier de la quête de la Pierre philosophale ! Cette découverte donne un autre intérêt au château, c’est l’histoire dans l’histoire. »
Une part d’ésotérisme mise en avant lors des visites guidées qui intrigue et séduit… et cela se retrouve dans l’engouement suscité pour la cagnotte lancée à 5.000, puis 10.000 euros sur dartagnans.fr : au bout de quinze jours, 4.000 euros ont été récoltés. Deux semaines plus tard, la somme a doublé. Et elle dépasse désormais allègrement les 10.000 euros espérés alors qu’il reste encore quelques jours jusqu’au 31 décembre 2019 sa clôture officielle.
Une somme qui ne représente certes que 10 % du budget global. Elle représente par exemple la seule restauration de la faîtière qui représente la Justice. « Mais cela permet de donner l’élan. […] C’est un château qui frappe, c’est sûr. Tous les dons viennent de particuliers, beaucoup de locaux , du village ou de la Dordogne, mais aussi de beaucoup plus loin car les dons viennent de sept pays différents. Jumilhac a une aura certaine. » Difficile de le contredire. »

vendredi 14 décembre 2018

On fait toujours chabrol (chabrot) à Jumilhac, autour et alentour

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/3c/Chabrot_2.JPG/1280px-Chabrot_2.JPG
Véronique PAGNIERTravail personnel CC BY-SA 3.0
" pour faire chabrot, vous devez manger de la soupe. Lorsque il reste un peu de bouillon au fond de l'assiette, vous rajoutez un peu de vin rouge / metètz un pauc de vin roge (alors de préférence, du vin ordinaire). Puis vous portez le plat à la bouche, aquí de qué vòl dire far chabròt / c'est ça, faire chabrot. C'est quand vous buvez à même l'assiette un restant de soupe en y ajoutant un peu de vin.
Et l'expression faire chabrot, ça vient de l'occitan ?
E òc valent / et oui ! Plus précisément, far chabròt vient du nord occitan parlé en Limousin ou en Auvergne. Far chabròt vòl dire: beure coma una pichòta cabra o craba / faire chabrot, ça signifie boire comme une chèvre. Çò curiós / ce qui est curieux, c'est que l'expression far chabròt qui vient du Limousin à l'origine, s'est étendue à l'ensemble de la grande Occitanie, mentre qu'en çò nòstre / alors que chez nous, pour parler de la chèvre, vous dîtes en occitan la cabra o la craba. Cossí que siá / quoi qu'il en soit, aujourd'hui, si vous voulez faire sensation auprès de vos collègues ou de votre famille: faîtes chabrot ce midi ou ce soir / fasètz chabròt ! Succès garanti.

lundi 4 septembre 2017

Balade dans les bois à la Bessoulie









Bourdoux...dans le Morbihan !

Tout le monde connaît Bourdoux sur la route de Ladignac à St-Priest-les-fougères ou à Jumilhac. Bourdoux appartient en partie à la commune de Jumilhac et en partie à celle de St-Priest.
Mais il y a un autre Bourdoux, sur la rive nord de l’embouchure de la Vilaine, dans le Morbihan, commune d’Ambon. En fait, ce n’est qu’une grosse ferme avec un grand troupeau de…limousines !

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Tout à côté il y a Kerdoux.
nota : « En breton moderne, le substantif kêr a plusieurs significations : « ville, village, villa » (anciennement « habitat fortifié », et « cité »), parfois « (le) chez soi, intérieur (ou home). » Par contre, la maison en tant que bâtisse se dit ti en breton. » (Wikipedia)
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Bourdoux est une ferme avec un troupeau de limousines !
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C’est sur la commune d’Ambon. Où l’on ne trouve pas une usine des « madeleines Bijou » mais une usine de biscuits bretons, au beurre. Et à la composition ultra simple. La biscuiterie de Kerlan. Excellent.
Voici la partie côtière d’Ambon en face de Pénestin et sa falaise qui est composée en partie de kaolin très pur. La Bretagne c’est le Limousin plus la mer et ses ports animés.
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Chapelle au bord de la mer
« La chapelle Notre Dame de Bon Secours, dite « Chapelle de Cromenac’h », date du XVIIIè siècle. Elle fut construite en 1778, remplace la chapelle Saint Tugdual dédiée au premier évêque de Tréguier, qui était édifiée sur une falaise qui s’est effondrée suite à une tempête et un raz de marée en 1705. »

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Au loin, Pénestin.
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Le paysage. Bourdoux est dans les terres mais tout proche de la mer.
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Ce jour là le temps était gris et très venteux.
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Vue de l’embouchure de la Vilaine. Au loin, Pénestin, Assérac.
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Vue de Penlan et du domaine de Rochevilaine.
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vendredi 24 février 2017

Jumilhac-le-Grand est sur Twitter

Tous les médias nous racontent que tout le monde est sur les “réseaux sociaux”. Autour de moi, je ne connais personne qui y soit. Y compris mes anciens collègues informaticiens.
Je suis sur Fesse-bouc sous un pseudo. Mais je refuse tous les amis qu’on me propose. Je suis asocial. Il me fallait bien, comme enseignant en informatique, savoir comment ça fonctionnait. J’ai vite vu que c’était un truc à pomper les adresses de vos répertoires. Et menteur en plus. J’ai reçu des messages de Fesse-bouc me disant que telle et telle personne était mon ami sur Fesse-bouc. Et quand je leur ai demandé, ils m’ont dit “c’est quoi Fesse-bouc” ! Aussi menteur que les grands marchands sur la Toile qui créent des sites marchands pipeaux avec des prix de produits fort élevés, pour pouvoir sur leur site afficher ces prix, montrant par là que leur prix à eux est beaucoup plus bas. Ils viennent de se faire piquer par les services de la concurrence…une amende fort rentable…business as usual ils disent chez Trump.
Je suis maintenant sur Twitter. Cui-cui.  J’y diffuse mes “posts” (i.e. billets) de mes blogs. Et re-tweete des billets choisis parmi mes abonnements.
J’ai constaté qu’il n’y avait presque rien sur Jumilhac-le-Grand sur Twitter. La ville ne va pas gagner le Marianne de la Toile ! Mais je fais ce que je peux pour qu’on ne dise pas que le Limousin ou le Périgord....

Alors à vous cui-cui… sur

vendredi 10 avril 2015

mardi 25 novembre 2014

De Jumilhac à Bergen-Belsen

NOR : DEFM9954003A du 19 juillet 1999, Journal officiel du 28 octobre 1999.

Au lieu de : « Tallet (Pierre), né le 15 novembre 1922 à Jumilhac-le-Grand (Dordogne), décédé courant 1944 (postérieurement au 10 septembre 1944) (sans autre renseignement) »,
Lire : « Tallet (Pierre), né le 15 novembre 1922 à Jumilhac-le-Grand (Dordogne), décédé le 31 octobre 1944 à Bergen-Belsen (Allemagne) ».


Arrêté du 17 mai 2013 portant modification des informations portées sur des arrêtés attribuant la mention « Mort en déportation » sur les actes et jugements déclaratifs de décès

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000027587762&categorieLien=id

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bergen-Belsen

Ce camp fut celui d'Anne Frank et de Simone Veil.

lundi 27 mai 2013

Ce qu'on lit dans le Papyrus Jumilhac

"L'épisode du dieu Anti, de la vache Hésat et de la nébrideL'épisode du dieu Anti, de la vache Hésat et de la nébride est connu de façon fragmentaire par des papyrus ptolémaïques dont le papyrus Jumilhac et par des allusions de Plutarque.

Le dieu Anti est originaire du XVIIIe nome de Haute Egypte. D'après le papyrus Jumilhac, Anti aurait commis un crime dans le nome d'Aphroditopolis ou plus exactement dans sa capitale Atfih. Il aurait coupé la tête d'une déesse que l'on peut vraisemblablement identifier à la déesse Hathor. Un bas-relief du temple de Khargeh, faisant apparemment allusion à cet épisode, représente le dieu tenant d'une main une tête de vache et de l'autre un couteau.

Rê, très en colère, condamne Anti à avoir la peau et les chairs arrachées : "Quant à ses chairs et à sa peau, sa mère [les] a crées, quant à ses os [ils existent] grâce à la semence de son père. Aussi, qu'on éloigne de lui sa peau et ses chairs, ses os restant en sa possession", d'où les représentations du dieu entouré de bandelettes.

Thot, par sa magie, remplace la tête de la déesse Hathor par une tête de vache. Puis il repart avec Rê et la peau du dieu Anti. Survient la vache blanche Hésat. La déesse Hésat est originaire d'Atfih et forme une triade avec le Mnévis d'Héliopolis et l'Anubis de Toura. Elle est considérée, depuis les textes des Pyramides, comme la mère de la nébride, la peau de bête que les égyptiens utilisaient pour conserver le lait ou peut être comme baratte pour faire du beurre. Hésat aperçoit la peau du dieu Anti et en éprouve une grande joie. Elle fabrique alors avec son lait un onguent qu'elle introduit dans la peau du dieu pour redonner vie à ses chairs.

La décollation de la déesse Hathor par le dieu Anti est à rapprocher d'un épisode de la lutte qui oppose Horus à Seth. Lors d'un combat entre les deux dieux, la déesse Isis vient paradoxalement apporter son aide à Seth contre son fils. Horus, très en colère par l'attitude de sa mère, lui coupe la tête. Le parallèle entre les deux légendes est tel que le papyrus Jumilhac substitut au cours de son récit l'identité d'Anti par celle d'Horus et l'identité d'Hésat par celle d'Isis : " il fut là, en bonne santé, ses chairs s'étant, de nouveau, affermies pour lui, et sa forme ayant été mise, de nouveau, au monde. Sa mère, Isis, le regarda comme un jeune enfant, après avoir renouvelé sa naissance, dans ce district."

Le récit d'Anti, de la nébride et de la vache Hésat, rapporté par le papyrus Jumilhac, apparaît donc comme la synthèse de trois légendes différentes : celle de la nébride, fille de la vache Hésat, qui remonte aux textes des Pyramides, celle de la décollation d'Isis dont les premières mentions se trouvent dans les textes des Sarcophages et enfin celle du dieu Anti et du meurtre de la déesse Hathor dont l'origine reste obscure mais semble également être ancienne. Voici le résumé de deux de ces légendes : La légende de la décollation d'Isis"

source :

mardi 5 mars 2013

Les cochons de Jumilhac de grand

http://boudinochataigne.canalblog.com/archives/2011/05/29/21254948.html

Désolé de ne pas être au goût du jour. Je ne vous parlerai pas de DSK et de sa chercheuse de maîtresse qui se prend pour Voltaire et qui raconte que sa mère la mise toute jeune au cochon.

samedi 1 mars 2008

Le papyrus Jumilhac

Enfin, je sais d'où vient le nom de ce papyrus. Grâce à la Pépite et à son chroniqueur Pierre Ortega. Il a intitulé son article "Jumilhac sur Nil ?"

Un ouvrage est entièrement consacré à ce manuscrit : Le Papyrus Jumilhac de Jacques Vandier * (FOL 03A 2262, Edidtion du CNRS.
Ce papyrus a été apporté au Louvre (il est exposé dans les galeries d'égyptologie) en 1945 par le comte Odet de Jumilhac, grand-père de l'actuel châtelain, Henry de la Tour du Pin. Odet avait trouvé ce document dans une propriété de famille. Le grand-père d'Odet était Raymond Sabatier (1819/1879) qui fit, au temps de Napoléon III, consul général de France en Egypte où il fut autorisé à pratiquer des fouilles. Sa collection fut vendue par ses héritiers en 1090. Le papyrus ne faisait pas partie de la collection.

*Jacques Vandier est unÉgyptologue français (Haubourdin 1904-Paris 1973).
Conservateur en chef des antiquités égyptiennes au musée du Louvre (1936-1945), il est notamment l'auteur d'un Manuel d'archéologie égyptienne (8 volumes, 1952-1964).
extrait de l'Encyclopédie en ligne Larousse