samedi 17 novembre 2007

France may one day exist no more, but the Dordogne

"France may one day exist no more, but the Dordogne will live on just as dreams live on and nourish the souls of men."

Henry Miller

"l se peut qu'un jour la France cesse d'exister, mais la Dordogne survivra"

" Cette visite à la Dordogne fut pour moi, je le répète, d'une importance capitale : il m'en reste un espoir pour l'avenir de l'espèce, et même de notre planète. Il se peut qu'un jour la France cesse d'exister, mais la Dordogne survivra, tout comme les rèves dont se nourrit l'âme humaine."

Henry Miller in " Le colosse de Maroussi "

jeudi 8 novembre 2007

Pomme Saint Jean et autres pommiers et cerisiers

Jean-Pierre m'écrit :

"
Ah !

Quel dommage que je n'ai pas su plus tot
que tu avais acheté un pommier

saint Jean !
Parce que dimanche dernier, nous étions
à Mortemart pour la
manifestation annuelle des "croqueurs de
pomme de l'ouest limousin" et
que nous avons assisté à un exposé.
Nous avions rencontré ces gens là
15
jours plus tôt à la fête de la pomme
à Magnac. Le conférencier était un

amateur-collectionneur qui a créé un
verger ou il a planté une
soixantaine de pommiers. Il en a présenté
certaines dont la Saint Jean.

Ignorant ton intérêt pour cette variété
je n'ai pas pris de note ni
posé
de questions, je ne me souviens plus trop
de ses appréciations. Tout ce

que je peux te dire c'est que c'est la
pomme la plus hative des vielles

pommes limousines et que c'est imagé
par le nom. Imagé seulement, nos
ancêtres exagéraient un peu : elle n'
est pas encore prête à la saint
Jean !

Il s'avère que sur notre terres
nous avons : deux lestres, une reinette

plus ou moins du canada et un "laurier"
variété limousine trés rare et
que l'on croyait perdue il y a peu.
J'ai, passé commande d'un cerisier
"bounado" pour le mois de mars. Il
s'agit des fameuses petites cerises
noires à clafoutis. J'y ajouterai
surement une autre variété :
le pépiniériste me propose un " abondance
de juillet" Il porterait des cerises
rouges trés juteuses et sucrées,
la
chair ne serait pas croquante comme
un bigareau mais ce serait un
traditionnel limousin."

jeudi 11 octobre 2007

La Seynie

http://manufrancois.free.fr/index.htm

un site sur la manufacture de porcelaine de la Seynie à St-Yrieix, avec un histoire des manufactures de porcelaine dans la région

vendredi 29 juin 2007

Pépinières de Jumilhac

http://pepinieres-de-jumilhac.com

Je n'avons pas encore fait affaire avec cette entreprise. En septembre nous lui commanderons des pommiers d'espèces locales.

lundi 4 juin 2007

Pierre Desproges et Châlus


Châlus a un château où Richard Coeur de Lion a été mortellement blessé le 6 avril 1199. Richard a son tombeau (avec d'autres Plantagenets) dans l'abbaye de Fontevraud (Centre culturel de l'Ouest), splendide abbaye à côté de Saumur.

A Châlus, j'espère qu'il reste encore un artisan travaillant le feuillard de chataigner pour en faire des fauteuils.

A Châlus, il y a aujourd'hui un collège Pierre Desproges. Il est vrai qu'il a fait connaître Châlus à toute la France. Voir le blog de quelqu'un qui fréquenta lui aussi Châlus http://blog.legardemots.fr
Desproges, lui, a son tombeau au Père-Lachaise, en face de celui de Michel Petrucciani.

Allez sur le site officiel de Pierre Desproges. Lisez quelques citations. Il nous manque Pierre Desproges. L'anti-langue de bois. http://www.desproges.fr/

Un site qui cite Desproges ...
http://dolgoroukiinc.hautetfort.com

"nous contribuons à la préservation des ressources naturelles"


encore le bla blabla !

Depuis plusieurs jours, nous trouvons dans Le Monde une page entière, de couleur rouge ocre suivie d'une page de Suez qui nous raconte que "Dans le cadre de notre stratégie environnementale, nous contribuons à la préservation des ressources naturelles, nous traitons et valorisons les déchets de nos clients. ..."

Suez réinvente l'histoire du vitrier qui casse les carreaux pour ensuite proposer ses services !

L'environnement nouvel attrape fric ? coco, c'est un créneau, une brèche, que dis-je un goufre.

Et les vaches et boeufs et génisses du Limousin continuent à peter. Sans doute, des animaux philosophes qui ruminent en pensant :

"Que mieux vaut un pet sonore qui sort avec fracas qu'une vesse puante qui se répand tout bas".

Couade et toupi




Cette couade date des années 60. On l'utilisait à Bourdoux avant d'avoir l'eau courante venant du Puy Chalard.
Dans le toupi mes parents blanchissaient les châtaignes avec le boueradour.

La Coquille


"Passés Limoges et Châlus, le chemin entrait en Périgord. Par le bourg de la Coquille, dont le nom garde le souvenir de leur passage, les jacquets atteignaient la cité fortifiée de Thiviers. De là, une variante gagnait les rives de la Dronne et l'abbaye bénédictine de Brantôme (...) "

in
Les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, MSM, 1999, Isbn : 2-911515-21-8, chapitre Via Lemovicensis, p. 179

Aujourd'hui, à la Coquille, il y a un monastère Zen !

La Coquille et les Filles du Calvaire



Pierre Combescot (voir les forges de Paysac...) dans son roman Les Filles du Calvaire, Grasset, ISBN : 2-246-43541-2, écrit :

"Yvonne, Max, [...] quittèrent les Filles-du-Calvaire pour un chapiteau ambulant qui tournait en province. Le cirque s'arrêtait, une fois l'an, à la Coquille, près de Limoges, les premiers à venir applaudir les chevaux et les lions étaient un couple de fermiers qui, si l'on en croyait les gens du coin, n'élevaient les boeufs que pour les laisser mourir de vieillesse dans le pré.
C'est , dans cette belle campagne, en marge du Périgord; [...] ", page 427

L'albine, Fernand Dupuy


Fernand Dupuy, Scènes de la vie en Limousin et en Périgord vert, Fayard, 1977
Ce livre eut un gros succès. Le passage de l'auteur à Apostrophes de Bernard Pivot en a profité.

L'auteur est né à Jumilhac le Grand. Et les scènes sont celles de la région.

Excellent !



L'albine est publié aujourd'hui par les Editions aubéron

Boueradour


Le boueradour est une croix de St-André articulée autour du point de croisement. Deux des extrêmités (celles qui ne sont pas tenues en main) portent des encoches. On met des châtaignes, dont on a enlevé la peau, dans un toupis (une marmite ayant une forme caractéristique (nous mettrons une photo sur ce bloc-notes) et on les remue avec le boueradour pour blanchir les châtaignes, en enlever la peau blanche.

Pour voir un toupis limousin, allez sur le site de la forges d'Excideuil :
http://www.lacoste-cheminee.com/catalogue_ecran.html

Mes parents faisaient cela le soir en automne.
Aujourd'hui, on achète les châtaignes dans des bocaux, prêtes à l'emploi.

Le chabretaire de Bourdoux : Jean Veretou
























" Bonjour Monsieur,
En effet j'ai mené des recherches sur
les environs de St-Yrieix, et j'ai
notamment trouvé la trace d'un chabretaire
de BOURDOUX, Jean Veretou quel'on surnommait
"le Becat" car son visage était mangé par la
petite vérole.
J'ai une photo de lui, que j'ai publié
plusieurs fois,et que voici. Nous avons
aussi retrouvé sa chabrette.
Malheureusement je n'ai guère d'informations
complémentaires depuis l'exposition
de St Yrieix: manque de temps pour rechercher
sur place, désintérêt relatif des
gens sur place...
Dommage car je suis bien certain
qu'il y a encore de belles choses à trouver :
photos anciennes, mélodies à jouer, instruments
peut-être...
Avez-vous trouvé des traces de chabrettes

par vous-même?
Je serai intéressé par toute information.
Les anciennes photos de noces
sont souvent des sources surprenantes...
Bien cordialement, et bonne année
Eric Montbel "

Alors si un lecteur peut nous aider à ne pas faire
disparaître de la mémoire la musique
de notre région, qu'il n'hésite pas à nous écrire.

De Jumilhac au Québec


Voici un site qui vous donne la généalogie d'une famille canadienne d'origine de Jumilhac le Grand

http://www3.sympatico.ca/sgo/chroniq/cousino.htm

Une PME de la porcelaine


Une PME arédienne de la porcelaine qui fait son chemin de St-Yrieix, de Jumilhac le grand ... jusqu'à Nantes. (publicité gratuite)

http://www.porcelainesmpsamie.fr/htfr/0008.htm

Jumilhac le Grand


http://www.pays-jumilhac.fr/

Le musée de l'or :
http://www.minerauxetfossiles.com/sciences/sciences_info4.htm

Dagobert fit rouvrir les aurières gauloises de
Jumilhac-le-Grand pour frapper monnaie d'or.

http://pujol.chez-alice.fr/histoire/moyen.html

En passant par Jumilhac, Limousin et Périgord :
http://constanceetmehdi.free.fr/voy_vel/vel_etap_7.htm

Dans le Point :
http://www.lepoint.fr/voyages/speciaux/document.html?did=133926

Le rocher d'escalade :
http://www.ffme.fr/site/FALAISE_fiche.php?id=968

A lire :

Une recherche de l'extrême : l'ordre de Grandmont : Le prieuré de la Faye à Jumilhac-le-Grand : Moines et abbayes (The Order of Grandmont: the Priory of the Faye at Jumilhac-le-Grand : Monks and Abbeys) ORTEGA Pierre ;Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord (Bull. Soc. hist. archéol. Périgord) , 2002, Vol. 129, n° 4, pp. 551-566, ISSN 1141-135X

mardi-gras à Jumilhac







Lundi dernier le boucher était ouvert contrairement à l'habitude. Car le lendemain était mardi-gras.
Le boulanger (il fait du bon pain et ... fait la tournée) vendait des tartes aux pruneaux, une tradition de mardi-gras à Jumilhac.

Les cafés restaurants disparaissent. Il reste Le bouéradour. Il paraît, qu'en été, les Anglais, Hollandais, nombreux dans la région, aiment y passer la soirée.

Une chanson ancienne de Jumilhac


Un noël a été recueilli par Casse et Chaminade à Jumilhac en Limousin, à la fin du XIXème siècle
sur le site d'Ulysse Productions d'Eric Montbel :

http://ulysse.ange.free.fr/D%27ouviens_tubergere.html

Les Jumilhac


XVIIe siècle

dom Benoît de Jumilhac


Né en 1611 au château de Saint-Jean-Ligoure (Haute-Vienne).

Bénédictin et musicien. De famille noble, Benoît de Jumilhac effectue ses études à Bordeaux, entre ensuite dans la congrégation de Saint-Maur en 1629, contre la volonté de son père. Il prononce ses voeux à Saint-Rémi de Reims l'année suivante. En 1647, il est prieur général de Saint-Julien de Tours, et en 1653 supérieur des religieuses de Chelles (Seine-et-Marne), pour protéger cette abbaye pendant les troubles de la Fronde. En 1651, il est prieur de Saint-Nicaise (Reims), puis visiteur de Bretagne, et de la province de Toulouse (1654), assistant du général de son ordre, pour finir, en 1666, sous-prieur de Saint-Germain-des-Prés à Paris, où il meurt en 1682.

On lui doit : La science et la pratique du plain-chant (Paris 1677), où il expose les façons dont on notait la musique en occident avant Gui d'Arezzo, et les principes de ce dernier ; Règles communes et particulières de la congrégation de Saint-Maur (1687).
source : http://j_mirou.club.fr/j3.htm

Le régiment de Vaubecourt
"Ce régiment est créé en 1610 par Castel Bayar Bajac ?? puis Montaussier, Crussol, d'Antin,Gondrin de 1702 à 1704 puis Gervasis de 1704 à 1734, puis le duc d'Antin jusqu'en 1745, remplacé par le chevalier de Montboissier, puis le marquis de Vaubécourt. Ce régiment est a 2 bataillons.
Ce régiment est créé en 1621 par le baron de Castelbayard, il reste régiment de gentilhomme jusqu'en 1762 ou il devient régiment provincial et prend le nom de la province d'Aunis. A partir de juillet 1755 c'est Jean-Charles de Nettancourt, marquis de Vaubécourt qui en est le colonel propriétaire jusqu'à la réforme des régiments de l'infanterie française de décembre 1762 ou le régiment devenu provincial est confié au comte de Jumilhac."
source

XVIIIe siècle
"Vingt personnes se détachent. Le duc de Péquigny, appelé depuis le duc de Chaulnes(21), va faire pointer ces quatre pièces; on les place vis-à-vis la colonne anglaise. Le duc de Richelieu court à bride abattue au nom du roi faire marcher sa maison; il annonce cette nouvelle à M. de Montesson, qui la commandait. Le prince de Soubise rassemble ses gendarmes, le duc de Chaulnes ses chevau-légers, tout se forme et marche; quatre escadrons de la gendarmerie avancent à la droite de la maison du roi; les grenadiers à cheval sont à la tête, sous M. de Grille, leur capitaine; les mousquetaires, commandés par M. de Jumilhac, se précipitent. "
extrait de Voltaire, PRÉCIS DU SIÈCLE DE LOUIS XV, chap. XI, source : http://www.voltaire-integral.com/Html/15/10PREC20.html

Une lettre du Baron de Jumilhac à Franklin

From the Baron de Jumilhac (unpublished)
Lisbonne le 1er Mars 1783
Monsieur,

J’ose prendre la liberté de recommander aux Bontés de Votre Excellence les Sieurs Wilhiam Wiliamson et Edward Clarke. Le premier demande le Vice Consulat de Setuval; le Second desireroit le même poste a Belém. Depuis prés de trois ans que je connois ces deux personnes, on m’a rendu le temoignage le plus flatteur de leur conduitte, et je suis dans le cas de repondre de leur intelligence. Quoique les places pour lesquelles ils supplient Votre Excellence de leur accorder Sa protection, ne soyent ni importantes ni lucratives, il est cependant utile quelles soyent exercées par des gens de probité et de merite. Peut etre, Votre Excellence aura telle deja reçu plusieurs Sollicitations à ce Sujet, mais j’ose l’assurer que Sa protection ne peut etre mieux placée, qu’en etant accordée a ces deux honestes gens.

Dans le Cas ou le Congrés laisseroit la nomination des vice-consulats aux consuls generaux, ils esperent, Monsieur, que Vous daignerez leur accorder une lettre de recommandation auprès de votre consul a Lisbonne, affin qu’il les prefere, dans le cas ou il les trouveroit dignes de Vos Bontés.

Quoique je n’aye aucun titre pour prendre la liberté de vous ecrire, J’espere que votre Excellence daignera m’excuser, et que le motif qui m’y engage, me justifiera auprés d’elle. J’ay l’honneur d’etre avec un tres profond respect, De Votre Excellence, Le tres humble et tres obeissant Serviteur

Le Baron De Jumilhac
source : http://www.franklinpapers.org/franklin/framedVolumes.jsp?vol=39&page=072

Une lettre de cachet

« Mons. le comte de Jumilhac, je vous fais cette lettre pour vous dire de recevoir dans mon château de la Bastille le nommé [...] et de l'y retenir jusqu'à nouvel ordre de ma part. Sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait, Mons. le comte de Jumilhac, en sa sainte garde. Écrit à Compiègne le 20 juillet 1765. - Louis [et plus bas] : PHELIPPEAUX. [Au dos] : à Monsieur le comte de Jumilhac, gouverneur de mon château de la Bastille ».

source :http://www.cosmovisions.com/monuParisBastille.htm

XIXe siècle

Au Canada

"D'autres nouveaux venus font leur apparition en 1888. Parmi ceux-ci se retrouve le comte Jean de Jumilhac du Calvados dont certains ont affirmé, qu'il devint à son retour en France, Duc de Richelieu. En réalité, le Comte de Jumilhac appartenant à la famille Chapelle de Jumilhac à qui revient le droit de succéder à la famille de Richelieu et d'en reprendre le titre, ne fut sans doute jamais duc. Il est plus plausible par contre qu'il soit devenu marquis. En arrivant, il se fait construire une superbe demeure. L'auteur s'est laissé dire que cette grande maison était toute faite de briques. Un détail de sa construction peut donner une idée générale de ses dimensions. «The staircase was built on the same scale as his home in France and wide enough for a carriage and team.»

À son arrivée, le Comte de Jumilhac se lance dans l'élevage du mouton. Il entre en société avec deux nouveaux venus, Robert Wolfe et Henri de Soras. «L'affaire eut un bon départ grâce à un berger écossais d'expérience qui sut se procurer des béliers de race pure, ainsi que des brebis Shropshire et Oxford Down.» précise Donatien Frémont. En fait, le Comte de Jumilhac eut à son service un personnel originaire de pays où l'élevage du mouton était bien connu et les bergeries fort nombreuses. Parmi les six employés résidant à Richelieu 1891, deux étaient écossais (Thomas Harvess et John Hulchonson) et un troisième australien (William McKenzie)".
source : Le Musée Virtuel Francophone de la Saskatchewan (http://www.societehisto.com/Musee/Articles/aristocratie.html)

XXe siècle
Donation à la Sorbonne
"En 1930, Marie-Odet-Armand Chapelle, marquis de Jumilhac, duc de Richelieu, sans descendance, fit donation à l’Université de Paris du domaine de Richelieu, afin de manifester la filiation entre celui qui, avant d’être Ministre, avait été proviseur du Collège de la Sorbonne et l’université française contemporaine." http://www.sorbonne.fr/document155.html

Faisselles de Bourdoux


Celles-ci viennent de Bourdoux, commune de Jumilhac

L'horloge de Jumilhac



Je me souviens du jour où la corde qui soutenait les poids s'est cassée. Mon père a alors mis un bidon d'huile vide sous les poids pour limiter l'effet du choc au cas où ...

La photo date de 1999.

Sur le cadran :

Maloubier
Jumilhac le Grand

Aujourd'hui il n'y a plus d'horloger à Jumilhac !

L'albine, Fernand Dupuy


Fernand Dupuy, Scènes de la vie en Limousin et en Périgord vert, Fayard, 1977
Ce livre eut un gros succès. Le passage de l'auteur à Apostrophes de Bernard Pivot en a profité.

L'auteur est né à Jumilhac le Grand. Et les scènes sont celles de la région.

Excellent !



L'albine est publié aujourd'hui par les Editions aubéron

It has always struck me as strange that a lot of British History


" It has always struck me as strange that a lot of British History has been brought to life for me when travelling through France. Much of England's history between 1154 and 1453 was bound up with events in the Southwest France and the Dordogne, including Henry II's ownership and subsequent loss of Aquitaine and his marriage to Eleanor of Aquitaine. Not to mention the English claim to Calais and innumerable battles on French territory over the centuries.

Another thread of our history is manifested in the Route de Richard, Coeur du Lion, better known as Richard the Lionheart or Richard I. Much of his reign was spent on the Crusades to the Holy Land, however the "Route" is not connected with the Crusades, but more with a less consequential tussle with Philip of France, which ultimately led to his death in the Limousin.

The route runs through pleasant and little-visited countryside in an area bounded by Angouleme(16 Charente, Poitou-Charentes), Limoges (87 Haut Vienne, Poitou-Charentes) and Perigueux(24 Dordogne, Aquitaine) and focuses on 15 medieval castles most of which are open to the public, Many of them are impressive structures with rounded turrets and moats, the most impressive being Chateau de Jumilhac le Grand (24 Dordogne, Aquitaine). The most poignant is probably the Chateau de Chalus-Chabrol where Richard met an untimely death.
The castles on the route are:-
Chateau de Rochebrune
Chateau de Rocheouart
Chateau de Brie
Chateau de Montbron
Chateau de Chalus-Chabrol
Chateau des Cars
Chateau de Lastours
Chateau de Neron
le Chalard
Chateau de Jumilhac-le-Grand
Cite de Saint Yreix-le-Perche (how do you pronounce that!?)
Chateau de Coussac-Bonneval
Cite de Segur
Chateau d'Arnac-Pompadour

The route is well sign-posted throughout its 180km length, and provides a good way of passing a few days wandering through the gentle countryside of the Limousin, off the main north-south traffic routes - and get some history. Regrettably, wine is not one of the highlights of the region - you need to go north, south or west of the region for decent wines. But it is a rich fruit and chestnut producing area - so your trip can be healthy and abstemious as well! "



extrait du site http://www.frenchduck.com/2006/06/

Le festival de Jumilhac


Le site :

http://www.festival-jumilhac.fr/index.php

Le frelon tueur, vespa velutina


celui que nous avons vu la première fois à Jumilhac-le-grand il y a quelques mois. Un article dans Sciences & Vie de ce mois. Le premier a été découvert l'été 2004 dans le Lot-et-Garonne. Il aurait été ramené de Chine par un horticulteur.

Les abeilles organisent la résistance.

Tu parles !


"o-oa !
plan !
pensa-te !
a balhat ton blat negre ?"

Y. Lavalade, Dictionnaire Français/Occitan, PLUM

Ma grand-mère paternelle utilisait "pensa-te !" Ce "pensa-te !" m'a formé. Aujourd'hui on dirait qu'il m'a traumatisé.

Parle toujours ! (on ne t'écoute pas)


"parla,
bram !
piaula, merle !
eissubla, merle
la trida coa ! "

Y. Lavalade, Dictionnaire Français/Occitan, PLUM

samedi 26 mai 2007

Les photos de J.M.C.












Les joies du pays natal et la vie anglaise

Le frère de Madeleine m'écrit :

" Je suis rentré de château chervix depuis
lundi mais j'ai encore mal au dos.
Le débroussaillage en est sans doute la cause.
Il faut passer la débroussailleuse avec
un mouvement circulaire. J'ai
peut être accompagné avec le tronc, pas
seulement les bras ? Chuis pas
un pro.
Abominables les ronces qui emprisonnent
les orties, les fougères et tous
les végétaux.
Et là dedans on découvre :
Cuvettes, seaux, bassines, lunettes de vue,
morceaux de fer, fils de
fer, ( tout ça très rouillé bien sur
et pour les bassines sans fond)
bouts de ficelle, tessons de bouteilles,
carreaux cassés, tuiles itou,
bidons d'huile, mâchoires de porc,
débris d'éverite amiantée etc...
Même des pneus et ça, la décheterie
les refuse : "vous devez les ramener
au garage". Tu parles Charles, le
garage va accepter de me reprendre des
pneus qui doivent avoir plus de 50
ans, qui sont tout déchiquetés et
recouverts de peinture : ils avaient
servi à représenter un "joli" puits !
Evidemment l'éverite c'est encore pire
et le plus rigolo est que le
diagnostic avant la vente n'en avait
pas découvert sauf sur la niche du
chien.
Qui veut une niche de chien, moche
et presque en état ?
Nous couchions chez les plus proches
voisins, bien sur des anglais. Les
sportifs ! Quelle belle capacité à
descendre la bière ! L'autre soir ils
arrosaient la victoire de leur équipe
de foot favorite et je suis
reparti de leur "bar" un peu erratique !
Heureusement, il n'y avait
qu'une petite cour à traverser pour
atteindre le gîte et Michèle et
Muriel surveillaient mon trajet.
Elles étaient en forme mais marchaient
droit, elles.
Ya longtemps que ça ne m'était pas
arrivé. J'essayais bien de ne pas
vider mon verre trop vite mais quand
ils trouvaient que je n'étais pas
assez rapide ils me donnaient un
second verre ! redoutables les anglais et
ceux que j'ai rencontrés dans mon
limousin, super sympathiques. J'ai
picolé avec quatre familles anglaises
dans le "bar" ( non public) de mon
logeur.
En revenant là bas je croyais pouvoir
retrouver le langage occitan de
mes ancêtres, en fait je perfectionne
mon anglais."