« La Pépite » de Jumilhac
recèle des pépites !
Par un jugement en date du 19 juin 2017, la demande du requérant a été rejetée.
Or, dans cette 2° affaire, il s’avère que cet administré n’a jamais déposé lui-même cette requête.
Il n’a découvert le pot aux roses que lorsque le TA lui a notifié le jugement, par lettre RAR. (Voir Compte rendu du conseil municipal du 6 septembre 2017) (1)
Deux personnes ont agi en son nom et à son insu, aux dires de l’avocate qui les a assistés dans cette procédure.
Ces sbires ont pris un soin méticuleux à camoufler leur action pendant deux ans, en interceptant les courriers et en réglant les honoraires de l’avocate.
Reste à comprendre leur motivation ou leur intérêt ?
La commune ne leur sera pas reconnaissante.
« Il y a des gens qui observent les règles de l’honneur comme on observe les étoiles, de très loin ». (Victor Hugo)
Annick Maurussane «
(1) Voici :
« Madame le Maire rappelle à l’assemblée le contentieux qui opposait la commune à Monsieur Laurent QUEYROI concernant l’attribution d’un marché public voirie. Ce dernier a déposé une requête le 12/08/2015 auprès du tribunal administratif de Bordeaux. A l’audience du 29/05/2017, Monsieur Laurent QUEYROI n’était pas présent ni représenté. Le 19/06/2017, le jugement du tribunal administratif a été notifié à la commune et à Monsieur Laurent QUEYROI. Le 24/06/2017, Monsieur Laurent QUEYROI s’est présenté à la mairie. Ce dernier a expliqué qu’il n’était pas l’auteur de la requête déposée le 12/08/2015. Monsieur Laurent QUEYROI a remis en mairie une attestation sur l’honneur confirmant qu’il n’est pas l’auteur de la requête déposée au tribunal administratif le 12/08/2015 et qu’il a été victime d’une usurpation d’identité. Il a également remis à Madame le Maire, un échange de mails avec l’avocate qui a formulé cette requête, et qui confirme ses dires. Le conseil municipal prend note. »
« En 2015, deux requêtes auprès du Tribunal Administratif ont été déposées à l’encontre de la commune.
* La deuxième, formulée par un administré, le 12 août 2015,
en vue d’obtenir l’annulation de la délibération du 6 juillet 2015,
attribuant le marché de réhabilitation du réseau d’assainissement, rue
du stade, au groupement d’entreprises Laurière et Montastier.Par un jugement en date du 19 juin 2017, la demande du requérant a été rejetée.
Or, dans cette 2° affaire, il s’avère que cet administré n’a jamais déposé lui-même cette requête.
Il n’a découvert le pot aux roses que lorsque le TA lui a notifié le jugement, par lettre RAR. (Voir Compte rendu du conseil municipal du 6 septembre 2017) (1)
Deux personnes ont agi en son nom et à son insu, aux dires de l’avocate qui les a assistés dans cette procédure.
Ces sbires ont pris un soin méticuleux à camoufler leur action pendant deux ans, en interceptant les courriers et en réglant les honoraires de l’avocate.
Reste à comprendre leur motivation ou leur intérêt ?
La commune ne leur sera pas reconnaissante.
« Il y a des gens qui observent les règles de l’honneur comme on observe les étoiles, de très loin ». (Victor Hugo)
Annick Maurussane «
J’ai entendu souvent des citoyens du pays
me dire qu’ils se méfiaient d’Internet…mais sans Internet, dans le pays
on sait usurper les identités ! en attendant le Très Haut Débit !
En attendant, je n’arrive pas à mener une
conversation téléphonique avec un téléphone portable, là-bas, loin loin,
à Bourdoux, tellement la réception est mauvaise. Quant aux urgences
médicales, nous prions saint Eusice. Il parait qu’il est efficace. Et
j’ai payé une installation de ligne fixe qui n’a jamais fonctionné.
France-Télécom n’a jamais été foutue de la faire fonctionner. Et m’a
renvoyé « à l’installateur » ! je n’avais qu’à le payer pour qu’il
revienne. Quel installateur ? on n’a su me le dire ! On ne se fout pas
de la gueule du populo.
Avant le THD, svp, le téléphone, ce vieux
téléphone de papa. Svp ! Je sais, ça fait moins chic que le THD par
fibre optique déployé devant des ruines. Mais les taupes aiment bien, ça
a ameubli la terre le long des petites routes.
(1) Voici :
« Madame le Maire rappelle à l’assemblée le contentieux qui opposait la commune à Monsieur Laurent QUEYROI concernant l’attribution d’un marché public voirie. Ce dernier a déposé une requête le 12/08/2015 auprès du tribunal administratif de Bordeaux. A l’audience du 29/05/2017, Monsieur Laurent QUEYROI n’était pas présent ni représenté. Le 19/06/2017, le jugement du tribunal administratif a été notifié à la commune et à Monsieur Laurent QUEYROI. Le 24/06/2017, Monsieur Laurent QUEYROI s’est présenté à la mairie. Ce dernier a expliqué qu’il n’était pas l’auteur de la requête déposée le 12/08/2015. Monsieur Laurent QUEYROI a remis en mairie une attestation sur l’honneur confirmant qu’il n’est pas l’auteur de la requête déposée au tribunal administratif le 12/08/2015 et qu’il a été victime d’une usurpation d’identité. Il a également remis à Madame le Maire, un échange de mails avec l’avocate qui a formulé cette requête, et qui confirme ses dires. Le conseil municipal prend note. »